Chers amis,
Dans notre lettre de septembre dernier, nous affirmions que les crises allaient se succéder de plus en plus rapidement. Force est de constater que nous nous sommes trompé : les crises se chevauchent !
Pour ceux qui caressaient l’espoir d’un retour des prix à ceux observés avant la Covid, le débat semble clos a minima pour les deux prochaines années. La hausse des taux des crédits immobiliers s’accélère elle aussi et ce, quel que soit le profil client, quelle que soit la durée de remboursement.
Pourtant, d’un point de vue strictement économique, l’analyse est assez rapide en ce qui concerne le secteur du BTP : moins de 20 % du gaz consommé en France provient de Russie (contre près de la moitié en Europe !). Mais par crainte et surtout par spéculation, le baril de pétrole a accéléré son envolée. Conséquence directe : le prix à la pompe s’approche des 2 €.
Si vous pensez que l’aventure est dangereuse, essayez la routine elle est mortelle.
– Paolo Coelho –
À court terme, la hausse des taux d’intérêt est une bonne nouvelle : procrastiner va coûter cher ! À moyen et long terme elle va désolvabiliser nos clients uniquement si les salaires ne progressent pas. Une nouvelle fois nous insistons sur l’importance de l’analyse du financement de vos prospects. La date de péremption des études financières sera de plus en plus courte !
C’est davantage sur les conséquences psychologiques que le Cabinet souhaite attirer votre attention aujourd’hui. Plus d’un siècle après l’affaire de l’emprunt Russe – pourtant toujours présent dans les mémoires des Français – nous avons à analyser les angoisses nouvelles de nos clients. Comment vont-ils appréhender le mode de chauffage ? Comment vont-ils se positionner quant à l’éloignement ? Comment se projetteront-ils dans l’avenir ? Autant de questions pour lesquelles, une nouvelle fois, nous insistons sur l’importance de l’analyse du pour-quoi du choix des clients.
À tous ses clients, RéaXion souhaite un printemps dynamique,